Juno
Juno McGuff, 16 ans, est une jeune fille qui n'a pas la langue dans sa poche mais qui, sous ses airs de dure, se cherche comme toutes les adolescentes de son âge. Alors que la plupart de ses copines de lycée passent leur temps sur internet ou au centre commercial, Juno ne fait rien comme les autres. C'est ainsi qu'un jour où elle s'ennuie, elle couche avec Bleeker, garçon aussi charmant que peu prétentieux.
Mais quand elle tombe enceinte accidentellement, elle décide de trouver le couple de parents adoptifs idéal qui pourra s'occuper de son bébé. Avec l'aide de sa meilleure amie Leah, elle repère dans les petites annonces du journal local Mark et Vanessa Loring qui rêvent d'adopter leur premier enfant. Soutenue par sa famille, Juno fait la connaissance des Loring. Tandis que le terme de sa grossesse approche, Juno va devoir faire preuve de maturité et de courage...
Mais quand elle tombe enceinte accidentellement, elle décide de trouver le couple de parents adoptifs idéal qui pourra s'occuper de son bébé. Avec l'aide de sa meilleure amie Leah, elle repère dans les petites annonces du journal local Mark et Vanessa Loring qui rêvent d'adopter leur premier enfant. Soutenue par sa famille, Juno fait la connaissance des Loring. Tandis que le terme de sa grossesse approche, Juno va devoir faire preuve de maturité et de courage...
Ce film dédramatise les grossesses qui surviennent à l'adolesence sans rien masquer des difficultés que cela pose. On est pris entre émotion, rire et réflexion dans cette vie de Juno qui continue sans que cette grossesse ne soit un drame absolu ou une catastrophe qui aurait l'avortement comme solution unique et automatique.
La vie qui survient nous transforme, nous construit et, par le chemin de l'épreuve, ouvre finalement une voie de paix et de réconciliation.
A se couper de la vie, on rate toujours quelque chose de notre accomplissement personnel.
La vie qui survient nous transforme, nous construit et, par le chemin de l'épreuve, ouvre finalement une voie de paix et de réconciliation.
A se couper de la vie, on rate toujours quelque chose de notre accomplissement personnel.
4 mois, 3 semaines, 2 jours
1987, Roumanie, quelques années avant la chute du communisme. Ottila et Gabita partagent une chambre dans la cité universitaire d'une petite ville. Gabita est enceinte et l'avortement est un crime. Les deux jeunes femmes font donc appel à un certain M. Bébé pour résoudre le problème. Mais elles n'étaient pas préparées à une telle épreuve...
Disons-le tout de suite, le réalisateur, pro-avortement, a fait ce film pour promouvoir la légalisation de l'IVG en dénonçant les conditions d'avortements clandestins. Cependant, tout dans ce film montre la crudité de la réalité de l'avortement et en démontre même la nature meurtrière. Une scène montre en effet le bébé mort avorté que la caméra et le jeu d'acteur portent à voir comme un enfant mort. Le réalisateur suggère que l'abominable est lié aux conditions clandestines de l'avortement et que la légalisation apporterait confort, sérennité et humanité. C'est oublier que la réalité est telle qu'elle est et ne peut être changée par le caractère aseptisé et propret des blocs opératoires occidentaux. Ce film éprouvant est gris, glacial, triste, sans espoir et même pervers dans les toutes dernières secondes ; un repoussoir pour l'avortement en somme, qu'il soit clandestin ou pas. Un film à double tranchant... |
October baby
Hannah, jeune étudiante, connaît des problèmes de santé. Elle apprend par ses parents qu'elle a été adoptée et qu'elle est née suite à un avortement manqué, d'où sa fragilité.
Bouleversée, Hannah cherche du soutien. Elle va partir à la recherche de son passé et retrouver l'espoir.
Au cours de son voyage, elle apprendra beaucoup de la vie...
Bouleversée, Hannah cherche du soutien. Elle va partir à la recherche de son passé et retrouver l'espoir.
Au cours de son voyage, elle apprendra beaucoup de la vie...
L'histoire est inspirée de la vie de Gianna Jessen, survivante d'un avortement salin à 6 mois et demi de grossesse et pour qui le médecin-avorteur fut finalement obligé de signer son acte de naissance.
Ce film, très émouvant et remarquablement joué, traite du pardon, de l'amour et de la famille à travers la foi qui habite les personnages. Le propos n'est pas du tout moralisateur et évoque avec compréhension les difficultés et détresses pouvant mener une femme à l'avortement. Haïr le crime ne signifie pas haïr le criminel. Comment se débarrasser de sa culpabilité et de sa haine ? C'est en se laissant pardonner par Dieu que nous pouvons pleinement pardonner aux autres et à soi et trouver la paix. |
Gimme Shelter
Pour une jeune fille s’échappant seule d’un milieu sordide, l’enfant qui grandit en elle devient une ancre de salut. Elle recevra l’aide d’une maison d’accueil et d’un prêtre catholique et comprendra combien l’amour de Dieu entraîne l’amour profond pour les hommes dès le moment de la conception.
Peut-on donner ce que l'on a pas reçu ? L'espoir est-il permis quand toute notre vie ne semble être que désespérance ? Ce film répond oui aux deux questions.
Tout le monde pense que cette jeune fille de 16 ans sera incapable de devenir mère car trop immature, carencée sur le plan affectif, instable, impulsive. Seules deux personnes, une femme au parcours similaire et un prêtre, verront la personne unique qui se cache derrière les symptômes et la souffrance dans lesquels elle s'enferme et on l'enferme. Elle renaîtra, se révélera à elle même et entamera un chemin de guérison. Mais pour cela, elle aura reçu bienveillance et amour à un moment clé de sa vie où tout aurait pu basculé vers une descente aux enfers. |
Le ventre de Juliette
Juliette, une jeune fille de vingt ans, tombe enceinte et décide de garder son bébé envers et contre tous. Contre Mathias, qui se sent trop jeune pour assumer son rôle de père. Contre sa mère Julia, ancienne star enfant, kleptomane et névrosée, qui veut garder sa fille pour elle-même. Et contre sa sœur aînée Fabienne, qui veut s'approprier cette grossesse en lui trouvant un mari digne de ce nom.
Et puis, il y a ce père fantôme que Juliette n'a jamais connu et dont on dit qu'il a abandonné sa fille à sa naissance. Jusqu'au jour où elle découvre, au fur et à mesure de sa grossesse et de ses rencontres, que sa famille lui cache la vérité et que son père n'est pas le salaud qu'elle croyait.
Et puis, il y a ce père fantôme que Juliette n'a jamais connu et dont on dit qu'il a abandonné sa fille à sa naissance. Jusqu'au jour où elle découvre, au fur et à mesure de sa grossesse et de ses rencontres, que sa famille lui cache la vérité et que son père n'est pas le salaud qu'elle croyait.
Ce film montre bien les différences fondamentales existant entre les hommes et les femmes qui vivent une grossesse en tant que futures mère et père. Juliette dégage une grande force mais aussi une fragilité certaine, résultat de son histoire personnelle et de l’immaturité de Mathias, le père malgré lui de l’enfant. Juliette a une évidence : celle de porter un enfant et d’être mère dès la conception qu'elle dit avoir « sentie ». Elle entendra ensuite « chanter » son ventre.
On nous serine tout le temps que la grossesse ne regarde que les femmes. Ce film nous dit l’inverse : les hommes sont indispensables à la construction de la maternité.
On nous dit que seules les femmes peuvent décider d’avorter car ce sont elles qui « vivent les choses ». Juliette montre au contraire que malgré cette grossesse non-voulue, l’avortement est un choix impensable car elle aussi vit les choses mais d’une manière profondément vraie, naturelle et altruiste, humaine en somme. Tout le contraire de la froide idéologie déshumanisée de la sinistre culture de mort prônée par des soi-disant féministes.
On nous serine tout le temps que la grossesse ne regarde que les femmes. Ce film nous dit l’inverse : les hommes sont indispensables à la construction de la maternité.
On nous dit que seules les femmes peuvent décider d’avorter car ce sont elles qui « vivent les choses ». Juliette montre au contraire que malgré cette grossesse non-voulue, l’avortement est un choix impensable car elle aussi vit les choses mais d’une manière profondément vraie, naturelle et altruiste, humaine en somme. Tout le contraire de la froide idéologie déshumanisée de la sinistre culture de mort prônée par des soi-disant féministes.
Unplanned - Non planifé
La seule chose qui importe pour Abby Johnson, c’est d’aider les femmes. Touchée par la souffrance de beaucoup d’entre elles, elle est convaincue des bienfaits du droit à l’avortement. Elle s’engage comme bénévole au planning familial américain puis devient l’une de ses plus jeunes et brillantes directrices de clinique. Jusqu’au jour où ce qu’elle voit va tout bouleverser.